Au Canada, le RSEQ (Réseau du sport étudiant du Québec) et JAZZ Marketing Communications lancent « Tombe pas dans le piège« , une campagne de prévention à l’initiation au vapotage chez les jeunes de 11 à 15 ans…
« ON CHERCHE A ÉVEILLER LE SENS CRITIQUE DES JEUNES FACE AU VAPOTAGE ! »
Le Canada semble de plus en plus prendre exemple sur son voisin américain dans sa considération du vapotage. Récemment, le RSEQ (Réseau du sport étudiant du Québec) et JAZZ Marketing Communications ont présenté « Tombe pas dans le piège« , une campagne de prévention à l’initiation au vapotage chez les jeunes de 11 à 15 ans.
L’offensive multiplateforme, réalisée en partenariat avec le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS), mise sur la notion de piège pour sensibiliser les jeunes aux risques du vapotage. En fait, un jeune qui s’initie au vapotage a trois fois plus de risques d’essayer la cigarette traditionnelle par la suite. Le but est donc d’éviter que les jeunes commencent à vapoter.
L’approche créative laisse sous-entendre que les adolescents se font avoir et qu’ils tombent dans un piège en se laissant amadouer par les multiples saveurs de cigarette électronique offertes.
JAZZ a conçu deux exécutions vidéo de 15 secondes en français et en anglais, mettant en scène des saveurs appétissantes de fruits, où une vapoteuse est plantée. Graduellement, la caméra révèle que les fruits et la vapoteuse sont placés au milieu d’un piège. Des ombres sinistres et une musique inquiétante créent un effet d’anticipation, le piège pouvant se refermer à tout moment.
« Il y a un grand attrait chez les jeunes pour les produits de vapotage aromatisés. Nous avons donc voulu créer un contraste entre les fruits colorés et alléchants, et l’aspect menaçant du piège, avec une ambiance qui devient de plus en plus tendue tout au long du message » souligne Lizanne L’Africain, directrice de création.
La campagne sera déployée à travers le Québec en télévision, dans les salles de cinéma, sur le Web et les médias sociaux, en affiches dans les écoles secondaires ainsi que dans les établissements de santé et de services sociaux jusqu’au 31 mai 2019.