C’est un véritable coup de tonnerre qui vient de frapper le secteur de la santé en France et plus particulièrement le monde de la vape en souffrance depuis l’arrivée d’Agnès Buzyn au Ministère de la Santé. En effet, suite à sa candidature pour la Mairie de Paris en remplacement du sulfureux Benjamin Griveaux, Agnès Buzyn à donnée sa démission du gouvernement. C’est donc Olivier Véran, député « En Marche » et médecin qui aura la lourde tache d’administrer le Ministère des Solidarités et de la Santé.
UN CADEAU EMPOISONNE POUR UN DÉPUTÉ PRO-VAPOTAGE !
Inutile de perdre du temps à faire le bilan d’Agnès Buzyn au sein du Ministère de la Santé tellement il fut catastrophique. En théorie, l’arrivée de son successeur Olivier Véran devrait être une véritable bouffée d’air pour le monde du vapotage en France mais encore faut-il que son discours ne change pas avec cette nomination.
Olivier Véran a été nommé juste après la démission d’Agnès Buzyn, qui a décidé de quitter le gouvernement pour devenir la candidate LREM à la Mairie de Paris, en remplacement de Benjamin Griveaux.
Si son nom reste un mystère pour vous, sachez qu’il fait parti des rares politiques à soutenir le vapotage en France. En septembre 2019, il déclarait au Journal du Dimanche « Interdire le vapotage n’aurait aucun sens » ajoutant « Qu’en France, le vapotage est mieux encadré et sécurisé qu’aux États-Unis « .
« Je prédis qu’à terme, le vapotage sera considéré comme un outil de sevrage du tabac et ira de pair avec un remboursement. » – Olivier Véran (Sept 2019)
Le bémol pour le nouveau venu c’est surtout la situation catastrophique que lui laisse sa prédécesseure… En effet, l’Isérois, médecin du CHU de Grenoble, a accepté la lourde tâche de reprendre en main un ministère sous la pression des personnels hospitaliers en colère et de la menace d’épidémie du nouveau coronavirus. Un véritable cadeau empoisonné avec une menace de pandémie imminente.
Malgré certains doutes qui subsistent, la nomination d’Olivier Véran reste un véritable espoir pour le monde du vapotage en France. Espérons que dans les prochains mois, de véritables discussions pourront s’ouvrir avec les associations françaises de défense de la cigarette électronique !