SCIENCE : Retour sur la 6éme édition du Global Forum On Nicotine (GFN19)

SCIENCE : Retour sur la 6éme édition du Global Forum On Nicotine (GFN19)

C’est un véritable événement qui chaque année à lieu au mois de juin à Varsovie en Pologne. Pendant trois jours, le Global Forum On Nicotine rassemble la communauté scientifique, les responsables politiques, les médias et les curieux autour d’un thème unique : La nicotine. La 6éme édition du Global Forum On Nicotine avait donc lieu du 13 au 15 juin 2019 et avait pour devise « It’s time to talk about nicotine » (« Il est temps de parler de la nicotine »).  Impossible de faire l’impasse sur un événement si important, c’est pourquoi aujourd’hui nous vous proposons un retour complet en se basant sur le travail de nos confrères d’Ecigarette Direct . Dans un deuxième temps nous vous proposerons une interview exclusive de Zhou Zhenyi, buraliste et seul intervenant français officiel au Global Forum On Nicotine 2019.


« IL EST TEMPS DE PARLER DE LA NICOTINE »


Pour la première fois dans l’histoire du Global Forum On Nicotine, les conférences étaient complètes ! Plus de 80 conférenciers étaient présents pour intervenir sur les trois jours et de grands spécialistes de la réduction des risques tabagiques étaient au rendez vous. Chaque année, le Global Forum On Nicotine c’est un événement unique qui regroupent des avocats, des chercheurs, des experts en politiques, des consommateurs réunis pour discuter des dernières recherches et des obstacles réglementaires à la réduction du risque lié au tabagisme.

1ERE JOURNÉE : « LA DISTINCTION DOIT UNIQUEMENT SE FAIRE ENTRE COMBUSTION ET NON-COMBUSTION« 

Sur la première journée, l’événement majeur était l’Oratoire Michael Russell livré par le Dr Ronald W.Dworkin, anesthésiste en exercice, titulaire d’un doctorat en philosophie politique et enseignant au programme de spécialisation de la George Washington University. Pour rappel, l’Oratoire Michael Russell est un événement annuel organisé pour rendre hommage au travail et à la mémoire du professeur Michael Russell, l’un des pionniers de l’étude du tabagisme, des interventions cliniques et des actions des pouvoirs publics, décédé en 2009.

Mais avant ce moment clé avait lieu la réunion d’alignement de défense des consommateurs avec plusieurs points importants dont :

 

– L’opposition de l’OMS au vapotage qui influe sur la réglementation dans une grande partie du monde
– Les défenseurs qui doivent se concentrer sur le réseautage, la clarté des messages et la narration de leurs histoires avec passion et positivité

La réunion d’alignement sur le plaidoyer en faveur des consommateurs a débuté par une discussion sur la COP9 (neuvième Conférence des Parties de l’OMS), et Clive Bates a eu l’occasion d’expliquer comment se passait ce genre de conférences. Selon lui, c’est « un environnement autorisant les mauvaises politiques« , il présente cela comme un environnement semblable à une chambre où les gens se félicitent d’avoir fait des choses qui ne profiteront à personne. Évidemment, le spectre de la position de l’OMS sur le vape était présent pendant une bonne partie de la session.

Concernant les autres intervenants, Tomás O’Gorman a évoqué les nombreux arguments anti-vape répandus dans les pays d’Amérique latine, y compris son pays d’origine, le Mexique. Pour l’Afrique, Joseph Magero a souligné le fait que les gens n’avaient pas les informations nécessaires pour prendre des décisions éclairées concernant la consommation de nicotine. Pour les Pays-Bas, Eveline Hondius a souligné le fait qu’il n’existait pas de politique de réduction des risques, que le pays se concentrait uniquement sur la prohibition et l’abstinence complète, même à l’égard du vapotage.

Malheureusement, le message est bien souvent que les alternatives ne fonctionnent pas et qu’il faut être devenir « sans fumée » d’ici 2040. Et il n’est pas étonnant que l’Australie présente de nombreux problèmes, Fiona Patten (une politicienne et chef du parti Reason) a souligné que l’Association médicale australienne soutenait les centres d’injection supervisée pour les consommateurs d’héroïne mais s’opposait totalement à la réduction des risques pour les fumeurs.

David Sweanor, professeur de santé de l’Université d’Ottawa a vraiment résumé le problème en évoquant des politiques néfastes comme celle de l’Australie, où le vapotage est interdit, mais ou les cigarettes sont facilement disponibles. Lors de cette journée il déclare :   » Nous ne voulons pas que les gens jouent au tennis, mais ce n’est pas grave si ils jouent d’avant en arrière avec des bombes « , ce qui en clair revient à mettre en cause la réduction des risques alors même que le tabagisme est autorisé.

Lors de sa prise de parole, Clive Bates en a profité pour faire clairement comprendre qu’il ne devait pas y avoir de distinction entre les différents produits (Tabac chauffé, vapotage, snus). A ce sujet il déclare : « La distinction clé se trouve entre la combustion et la non-combustion (…). En tant que défenseurs des consommateurs, vous êtes des défenseurs de tous les consommateurs, pas seulement de vous-même. »


Durant son intervention pour la Michael Russell Oration, le Dr Ronald Dworkin a abordé la réduction comme le ferai un « néophyte » (mêle si le mot est un peu fort). Selon lui le vapotage permet d’extraire un élément clé du plaisir du tabac, offrant ainsi quelque chose de plus ciblé là où il n’y avait autrefois que des outils « grossiers », Il est donc question de plaisir en plus de la réduction des risques.

Son point de vue c’est que les gens n’apprécient pas forcément de vapoter et ou consommer des boissons légèrement (ou peu) alcoolisées car cela ne comporte aucun risque. Pourtant selon lui le vapotage devrait avoir de l’avenir et devait être apprécié par une bonne partie de la population de la même façon qu’on prend plaisir à boire une bonne bière.

2EME JOURNÉE : OUVERTURE OFFICIELLE DU GFN19 AVEC DAVID SWEANOR ET AARON BIEBERT

Si la première journée était en quelque sorte une introduction au Global Forum On Nicotine, l’ouverture officielle avait lieu le deuxième jour présentation les discours de David Sweanor et Aaron Biebert, réalisateur du film « A Billion Live » et « You don’t know nicotine« . 

Dans cette conférence « Il est temps de parler de la nicotine » il a donc été question de nombreux sujets, les points à retenir étant :

 

 – La nicotine apporte des améliorations dans certains domaines dont l’attention et la mémoire, mais présente des inconvénients en ce qui concerne le stress et l’humeur.
 – Les risques potentiels de la nicotine pure sont généralement théoriques, seule la dépendance est bien établie.
 – Les sources alternatives de diffusion de nicotine aident les fumeurs à cesser de fumer, mais attirent toujours l’opposition.

Lynne Dawkins, professeure de psychologie à Londres a abordé cette question en examinant des éléments de preuve concernant des fumeurs et des non-fumeurs. Un examen de 41 études a conclu que la nicotine améliore véritablement les capacités motrices fines et les aspects de l’attention et de la mémoire, en montrant des avantages pour six des neuf domaines considérés.
Cependant, les effets à long terme en particulier plus tard dans la vie suggèrent que le tabagisme est lié à un fonctionnement cognitif plus mauvais à long terme. Le tabagisme présente également des inconvénients en ce qui concerne le stress (le tabagisme ne réduit pas le stress, comme beaucoup de personnes le supposent) et l’humeur (relation avec la dépression).

Pour sa part, Neal Benowitz, médecin américain et professeur de médecine à l’Université de Californie à San Francisco, spécialisé dans la pharmacologie de la nicotine et du tabac a présenté les effets à long terme de la nicotine pure en évaluant chaque risque potentiel. Selon lui l’addiction est le seul problème «réel» de la nicotine, les problèmes cardiovasculaires restent considérés comme «probables», tandis que d’autres, tels que les problèmes de développement du cerveau chez les adolescentes et le cancer, sont généralement considérés comme de simples possibilités. Il précise également que si la nicotine n’est pas considérée comme cancérogéne, certains effets du produit (par exemple, la promotion de la croissance cellulaire) peuvent théoriquement conduire au cancer. 

Peter Hajek, professeur britannique de psychologie clinique et directeur de l’unité de recherche sur la dépendance au tabac ne semblait pas tout à fait d’accord avec son homologue. Pour lui il est essentiel d’utiliser la nicotine pour aider les gens à arrêter de fumer. Il en profite pour souligner que l’affirmation selon laquelle « la nicotine endommage le cerveau des adolescents » ne figure pas dans les nombreuses discussions sur les risques du tabagisme, et c’est pourtant l’un des arguments les plus courants contre le produit aux États-Unis. La suite de son intervention concerne la double utilisation (tabac / vapotage), selon lui, les utilisateurs doubles qui vapote régulièrement réduisent considérablement leur consommation de toxines, et ne l’augmentent pas. C’est totalement contraire aux affirmations de Stanton Glantz selon lesquelles le vapotage réduit le taux d’abandon du tabac.

La conférence suivante présentait « La régulation de la nicotine« , les points à retenir étant que :

 

 – La FDA commence à reconnaître les énormes inconvénients potentiels de son approche
 – La situation concernant à la fois les règles de l’Organisation mondiale du commerce et la Convention-cadre de l’OMS pour la lutte antitabac nécessite une clarification juridique
 – La manière dont la TPD est appliquée varie considérablement entre les pays de l’UE

Concernant la réglementation du vapotage aux Etats-Unis, Patricia Kovacevic, experte en réduction des risques tabagiques a passé en revue les bases de la réglementation de la FDA, les mises à jour des litiges et la situation actuelle. Elle met surtout en évidence la récente admission par la FDA (par Mitch Zeller, son directeur) que le fait de faire disparaitre les produits du vapotage «poserait de graves problèmes de santé publique».

Pour la présentation du Dr Marina Foltea, experte en droit commercial international et affaires publiques, la question essentielle était de savoir si les cigarettes électroniques étaient «des produits similaires» aux cigarettes (au sens juridique du terme) pour les règles de l’Organisation mondiale du commerce. Si tel était le cas, il sera difficile de traiter le vapotage différemment des cigarettes dans le cadre de ces règles, et étant donné que les « tests » juridiques relatifs à la similarité reposent sur le fait que les produits sont concurrents sur le marché, il est plus que possible qu’ils le soient. Dans cette situation, les interdictions pourraient être considérées comme discriminatoires par l’OMC, à moins d’une justification fondée sur des données scientifiques qui « n’existent pas ». Dans ce cadre, il a été souligné que cela pourrait également ouvrir la voie à de sévères restrictions en matière de vapotage, car cela signifierait qu’elles auraient besoin d’être traités de la même manière.

Concernant l’Europe, après une introduction de base à la TPD (Directive Européenne sur le tabac), Michal Dobrajc s’est concentré sur les transpositions de la directive au Royaume-Uni, en France et en Allemagne et sur les différences que cela a créées entre les pays. Par exemple, au Royaume-Uni, on considère que la limite de 2 ml sur les réservoirs s’applique à tous les réservoirs, alors qu’en France et en Allemagne, elle ne s’applique qu’aux cartouches jetables contenant de la nicotine. De même, le Royaume-Uni et la France n’ont répertorié aucun «ingrédient interdit» supplémentaire, alors que l’Allemagne a créé une longue liste, de sorte qu’un e-liquide légal au Royaume-Uni et en France pourrait facilement devenir illégal en Allemagne.

« Croyances et pratiques : Nouveaux éléments de preuve sur l’utilisation réelle de la cigarette électronique », les points clés :

 

– La collaboration entre les professionnels de la santé et l’industrie du vapotage pourrait aider à lutter contre le tabagisme
– Des preuves continuent à émerger montrant l’efficacité du vapotage pour arrêter de fumer
– Les affirmations sur les «particules» dans la vapeur sont inutiles et trahissent une ignorance sur les sources quotidiennes de particules en suspension dans l’air
– Les données américaines du NYTS ne corroborent pas l’épidémie déclarée, et les taux d’utilisations de vaporisateurs pourraient en grande partie être expliqués par la vaporisation de marijuana.

Lors de cette conférence, Emma Ward a présenté les résultats de ses entretiens avec des vapoteurs sur le potentiel de collaboration entre les boutiques de vape et les professionnels de santé au Royaume-Uni. La recherche couvre plusieurs méthodes possibles pour créer ce partenariat, allant des informations de base affichées en magasin à des éléments tels que les systèmes de promotions, la formation à l’arrêt du tabagisme pour le personnel des boutiques et les programmes de «paiement à l’acte» pour le personnel. La plupart des répondants étaient généralement favorables au partenariat expliquant que cela rassurerait les gens sur les risques potentiels pour la santé des produits de vapotage et que cela pourrait contribuer à rendre les e-cigarettes plus abordables. Tandis que d’autres estimaient que le vapotage devait rester un choix personnel, ou même qu’il était «contraire à l’éthique» de financer des appareils de vapotage.

La recherche présentée par le Dr Christopher Russell, Psychologue et chercheur en réduction des méfaits du tabac portait sur l’e-cigarette Juul, avec un grand échantillon de plus de 15 000 vapoteurs ayant utilisé le produit pendant six mois. Les résultats ont montré que 20,3% des participants étaient resté non-fumeurs trois mois et même six mois après le début de l’étude.

L’étude de Karolein Adriaens était plus petite, mais les résultats étaient conformes à ceux de l’étude Dr Russell. Il s’est notamment penché sur l’impact de l’ajout de produits de vapotage dans le traitement anti-tabac standard proposé par les conseillers tabacologues en Belgique. Les résultats ont montré que les vapoteurs étaient plus susceptibles d’arrêter de fumer à la fin de l’étude que les personnes utilisant des TRN, et que vapoter semblait également réduire le risque de rechute.

Sarah Gentry a également parlé de son enquête avec un suivi d’un an qui portait sur l’impact de différents choix en matière d’appareil et de niveau de nicotine sur le risque de rechute au tabagisme. Il a été constaté que les vapoteurs utilisant des batteries et des atomiseurs ou clearomiseurs étaient moins susceptibles de recommencer à fumer que les utilisateurs de cigalikes, et que des concentrations de nicotine plus élevées faisaient également baisser la rechute.

Roberto Sussman a donné un discours unique et énergique qui a mis en lumière les préoccupations concernant le vapotage passif. Selon lui les choses sont très claires :  » Si des interventions importantes étaient nécessaires pour protéger le public des particules submicroniques de l’e-cigarette, nous aurions également besoin d’interventions encore plus importantes pour la protection contre les bougies, les barbecues et mêmes les aspirateurs.« .

 

 

Konstantinos Farsalinos a clôturé les travaux en présentant un regard rationnel sur les données des enquêtes américaines sur le tabagisme chez les jeunes menées en 2017 et 2018, selon lesquelles il était largement démontré qu’une «épidémie» était observée. Mais dès que les données sont examinés plus en détail, cette interprétation commence à s’effriter. Il a décomposé les données en un usage peu fréquent ou fréquent et bien que l’utilisation à toutes les fréquences ait augmenté, la grande majorité des utilisateurs d’e-cigarettes ne l’utilisaient que peu voir pas. Le résultat le plus intéressant concerne toutefois la question de la vaporisation du cannabis. Les résultats du NYTS montrent que 60% des vapoteurs fréquents qui n’ont jamais fumé ont déjà consommé de la marijuana avec un vaporisateur personnel. L’épidémie serait-elle due à la consommation de cannabis ?

Il a également été question de transparence dans le financement des études. Selon Clive Bates : « Le problème du financement a été traité comme une arme. Il est simplement question de supprimer les résultats que la lutte antitabac n’aime pas. Malheureusement, et avec une grande précision, il souligne que les bailleurs de fonds «vertueux» qui pourraient soutenir les travaux cruciaux ne trouvent tout simplement pas la question attrayante. Il n’ya pas beaucoup de sympathie pour les fumeurs « . Pour le Pr David Abrams tout le monde est partial ! Les personnes avec de l’argent «propre» peuvent également fausser la science. La seule chose importante devrait être l’intégrité des données scientifiques et non de savoir qui paie la facture.

3EME JOURNÉE : LA SCIENCE SUR LE TABAC « SANS FUMEE » ET LA MAUVAISE SCIENCE SUR LA VAPE

Lors de la 3éme journée, il a été question de nombreux sujets dont celui du tabagisme chez les sans-abris et les communautés minoritaires comme les maories en Nouvelle-Zélande. Mais nous traiterons ici du sujet suivant, c’est à dire de la « Junk Science » ou Mauvaise science concernant le vapotage.

Les différents points clés de la conférence « Le fléau de la mauvaise science autour du vapotage » :

 

 – La mauvaise science sur le vapotage est omniprésente, mais peut être réfutée en s’attaquant aux erreurs répétées.
 – Il existe de nombreuses preuves montrant que le tabac chauffé a un potentiel énorme pour réduire les dommages liés au tabagisme.
 – L’usage de nicotine pendant la grossesse n’est pas sans risque mais il est possible de les réduires immédiatement.
 – La vapeur passive libère moins de particules que de tabac, mais cela varie selon le type d’appareil

Le Pr Riccardo Polosa a abordé la question de la mauvaise science autour du vapotage, mais avec un message optimiste expliquant que « celle ci pouvait être efficacement corrigée« . Il a souligné que les mêmes erreurs se répètent maintes et maintes fois. Par exemple, les études sur les cellules (recherche «in vitro») sont fréquemment effectuées à l’aide de protocoles de vapotage irréalistes et sans souci de dosage réaliste. En matière de recherche animale, le problème est similaire : par exemple, les souris, malgré leur poids minuscule, reçoivent souvent des doses de nicotine similaires à celles d’un humain. Le fait que ces erreurs se répètent met en lumière une solution : réfutez les problèmes récurrents et vous pouvez éliminer des tonnes de mauvaises recherches en un seul point.

Brad Rodu, professeur de médecine et spécialiste de la réduction des risques à l’Université de Louisville a donné un aperçu complet des preuves relatives aux risques du tabac « sans fumée ». En résumé, bien que le tabac à priser à sec semble comporter des risques (bien que moins importants que quelque chose d’aussi courant que conduire une voiture), le snus et le tabac chauffé sont effectivement sans danger, avec les seuls risques détectables liés aux antécédents de tabagisme. Selon lui le tabac chauffé a un potentiel énorme pour réduire les maladies et les décès dus au tabac.


Marewa Glower, professeure spécialisée dans le sevrage tabagique a également fait une intervention sur l’utilisation de la nicotine pendant la grossesse. Elle a examiné 22 études en détail, mais les conclusions générales restent que la prématurité est probablement liée à la consommation de nicotine sans qu’il y’ai d’autres formes de risque. Selon elle, cela ouvre un énorme potentiel pour prévenir les risques.


Maciej Goniewicz a pour sa part traité des preuves concernant le vapotage passif. L’accent était mis sur les particules mais dans l’ensemble, les recherches montrent que les produits de vapotage sont meilleurs que de le tabagisme, même s’il existe une focalisation apparemment inutile sur des «particules» sans référence à leur composition spécifique.

Source : Ecigarettedirect.co.uk

 

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A propos de l'auteur

Rédacteur en chef de Vapoteurs.net, le site de référence sur l'actualité de la vape. Engagé dans le monde de la vape depuis 2014, je travaille chaque jour pour que tous les vapoteurs et les fumeurs soient informés.